ÉTUDES
Vous trouverez sur cette page les études sur le lien méningiomes – progestatifs.
Y figurent aussi les études sur les risques de méningiomes sous Acétate de Cyprotérone
Depuis les années 1980, de nombreuses études à travers le monde ont mis à jour le fait que les méningiomes :
- sont plus nombreux chez les femmes que chez les hommes
- peuvent être hormonaux-dépendants
- peuvent régresser à l’arrêt du traitement.
D’autres études sont en cours pour essayer de comprendre le lien, dans la durée, entre les traitements progestatifs (Androcur, Lutéran Lutényl et autres).
La base de données internationale qui recensent toutes les études est la base Pubmed : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/
A ce jour, il faut poursuivre activement les recherches car il reste beaucoup de questions sans réponse sur ce lien entre Androcur (acétate de cyprotérone) et méningiomes et sur le lien avec les autres progestatifs (Lutéran, Lutényl et autres) .
Au delà de ce lien, cela permettra également de mieux comprendre les méningiomes dans leur ensemble.
Les troubles de la personnalité acquise après une résection de méningiome sont fortement associés à une altération de la qualité de vie
Nouvelles perspectives sur l’expression des récepteurs hormonaux par les méningiomes
L’acétate de cyprotérone (Androcur) favorise-t-il les méningiomes multiples ? par le Pr Sébastien Froelich, neurochurgien
Le fardeau psychologique des patients atteints de méningiome, dans le cadre d’une stratégie d’attente et de surveillance et après une résection complète, est élevé – résultats d’une étude prospective sur un centre unique
