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ANDROCUR et méningiomes- point au 31 mars 2020

vous avez des questions androcur


ANDROCUR et méningiomes

L’acétate de cyprotérone (ANDROCUR) multiplie les risques d’apparition d’un méningiome, une tumeur qui se développe dans les méninges, c’est-à-dire les membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière.

Quand une femme prend ce médicament, elle a 20 fois plus de risque de développer un méningiome

Une étude réalisée par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé (ANSM) et par l’Assurance-Maladie et portant sur 250 000 femmes prenant de l’ANDROCUR montre que ce médicament augmente les risques d’apparition de méningiome.

Pour les femmes, traitées à fortes doses par l’ANDROCUR, pendant 6 mois, le risque est multiplié par 7 et par 20 si le traitement dure 5 ans.

Ce risque a été précisé en 2011 sur la notice du médicament, sans que les patientes en aient été informées individuellement, que ce soit par l’ANSM (Agence de Sécurité du Médicament) ou par le laboratoire Bayer.

Les médecins qui prescrivent ce médicament informent très peu leurs patientes.

Prescriptions détournées de leur AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) .

L’ANDROCUR est prescrit à des dizaines de milliers de femmes depuis les années 1980.

Ce médicament doit être prescrit aux femmes souffrant d’hyper pilosité et aux hommes pour le cancer de la prostate. Il a été prescrit aux femmes pour beaucoup d’autres raisons : acné, endométriose, etc…et même pilule contraceptive!

L’AMAVEA, Association de victimes de médicaments, au même titre que l’APESAC. 
Le cabinet d’avocat choisi pour les procédures judiciaires est le même que celui de l’APESAC, le cabinet Dante, avec Maitre Charles JOSEPH-OUDIN
L’association est reconnue d’intérêt général depuis février 2020.

Nous défendrons donc les victimes. Nous avons déjà obtenu un rendez-vous auprès du Ministère de la Santé en mai 2019, grâce à olivier Véran, à l’époque député.
L’équipe d’avocats du cabinet DANTE est spécialisé dans la défense des victimes de dommages corporels, spécifiquement en accidents médicamenteux sériels.
Il
intervient :

  • Pour aider les victimes à choisir la meilleure solution adaptée à leur cas
  • Assister les victimes, aux côtés de médecins-experts, au cours des diverses expertises
  • Engager des procédures civiles devant les Tribunaux de Grande Instance

Nous sommes l’association qui a le plus informé et été le plus interviewée depuis les annonces sur la dangerosité de ce médicament.
Nous sommes l’association  qui avons le plus travaillé auprès de la presse et des réseaux sociaux, ainsi qu’auprès des autres associations de victimes de médicaments.

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