L’étude sur l’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques) est disponible – Ameli.fr
La démonstration des liens entre la prise d’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques) et la présence d’un méningiome a fait l’objet d’une publication par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (Cnam), avec des experts cliniciens et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Cette étude a établi que l’acétate de cyprotérone favorise le développement d’un méningiome. L’utilisation prolongée de l’acétate de cyprotérone au-delà de 6 mois, à une dose moyenne, supérieure ou égale à 25 mg/j, multiplie le risque de méningiome par 7, et par 20 au-delà d’une dose cumulée de 60 g, soit 50 mg/j pendant 5 ans, ou 25 mg/j pendant 10 ans.
Les prescripteurs d’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques) et les patients concernés ont reçu à la mi-juin des courriers d’information rappelant les recommandations de prescription et de surveillance de ces traitements.
Cette étude est disponible sur l’espace « Statistiques et publications » du site ameli.
L’étude sur l’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques) est disponible – Ameli.fr
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