Je me présente, Mme Claire x , 27 ans, j’ai pris Androcur de juin 2011 à janvier 2019. Cette pilule m’a été prescrite pour cause d’hypercholestérolémie d’origine familiale. Depuis le 31 janvier 2019, ma gynécologue a arrêtée le traitement en évoquant les résultats des études conduisant à des apparitions de méningiome.
En juin 2019, je reçois une lettre de l’assurance maladie m’indiquant les effets indésirables de la prise d’Androcur à court, moyen et long termes.. Et me conseillant de passer une IRM cérébrale pour écarter tous soupçons.
Je suis allée voir mon médecin traitant pour avoir une ordonnance pour une IRM cérébrale. Je l’ai passé le 4 novembre 2019, et en lisant les résultats le jour J, je comprends et lis noir sur blanc, que j’ai un méningiome. Je ne dirais pas que je me suis effondrée mais ça m’a mis un grand coup au moral et beaucoup de questions en tête..
Quand mon médecin traitant m’a reçu pour voir les résultats de l’IRM, il ne s’attendait pas du tout à ce résultat et semblait attristé.
Depuis le 31 janvier 2019, ma gynécologue m’a prescrit Lutényl et/ou Lutéran (selon les ruptures) qui s’avèrent non compatible en cas de méningiomes d’après les dires sur internet.
Ce matin, je sors de chez ma gynécologue, elle m’a prescrit une micro pilule car il n’y a pas eu de résultats sur les études Lutényl et/ou Luteran.
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